Leonor Montgomery - Guérisseuse du clan Hunter.

Guérisseuse du clan Hunter Messages : 9 Date d'inscription : 05/09/2009

Leonor Montgomery

-{ Identité

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Nom :

Montgomery.

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Prénom :

Leonor.

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Âge :

19 ans.

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Clan :

Hunter.

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Arme de prédilection :

Un bracelet.

- serti d’une pierre inconnue d’un rose très pâle, et moiré, il résorbe les plaies lorsqu’il est appliqué sur l’une d’elle. Néanmoins, il ne pourra guérir les blessures mortelles, et la durée d’efficacité dépendra de l’importance de la balafre. Le bracelet ne peut pas non plus agir sur les sortilèges.

-{ Précisions

Caractère :
Leonor a deux facettes distinctes. Le caractère qu’elle affiche, et celui qu’elle possède. Entre les deux, le fossé de l’apparence lui confère une part de mystère que peu de personnes ont pu dépasser – ne serait-ce que parce que l’esprit de la jeune fille est fermé à double tour, et la clef n’est offerte qu’au prix de milles efforts.
De prime abord, Leonor parait simplement inoffensive, sobrement douce, taciturne, renfermée, mais sans timidité : l’audace qui se dégage de sa personne réside dans une certaine hauteur, une noblesse hautaine, dont elle ne se départit jamais. Elle n’effraie personne, et les plus naïfs des Hunters pourraient même venir à penser qu’elle n’est qu’une ravissante idiote. Pour un œil un peu plus aguerri néanmoins, elle semble éthérée, un peu austère, muette par pudeur et souriante par bienveillance. Elle n’a jamais rien confié sur elle et se contente d’obéir, sachant qu’elle ne peut pas contourner les règles. Une bataille ? Tuer, s’il le faut, parce qu’on le lui a demandé d’un ton sans appel. Guérir, puisqu’il le faut, et le rien de sournoiserie qui l’habite lui fera peut-être augmenter la douleur un instant, avec cette jouissance qui accompagne la désobéissance secrète. Mais rien de rebelle – de fait, c’est simple. De l’extérieur, Leonor est un mouton de panurge à la moue supérieure, aux airs légèrement prétentieux, et au silence de glace.
La vérité est autre. De fait, Leonor est réservée ; de fait elle est pudique, et ses expressions hautaines ne sont que le reflet de son inadaptation sociale : elle peine a comprendre quel comportement, quelle parole elle doit dire, en temps et en heure, elle ne sait vraiment comment interagir avec l’humain. Elle se sent maladroite, et cette maladresse se traduira immédiatement par un repli orgueilleux.
Sa fierté est précieuse et forte, mais son orgueil vit dans l’ombre ; Leonor ne se rebellera pas, acceptera les critiques, acquiescera aux insultes ; elle possède cette modestie teintée d’hypocrisie qui la laissera muette, mais qui fera bouillonner en ses pensées une colère sans cesse retenue, sans cesse tue, jusqu’à explosion. Elle voudrait la rebellion. Elle voudrait cesser le combat. Elle voudrait envoyer valser tous ces devoirs idiots qu’ont les Hunters, ces ordres vaseux qu’hurle D’Al Kersen. Mais elle ne dira rien – pas maintenant. Elle attend dans le secret de pouvoir agir.
Si elle ne dit pas grand-chose, Leonor est une femme d’action. Lorsqu’il s’agit d’arriver à ses fins, elle gardera l’air inoffensif et n’en fera qu’à sa tête en silence. Elle n’est pas obéissante, elle n’est pas douce, et elle n’est pas délicate. Elle a simplement la qualité importante d’être violente et têtue sous couvert de la fragilité.
Enfin, elle manie la dérision et l’ironie avec une subtilité quasi-géniale, ce qui lui permet de laisser son interlocuteur désemparé : s’est-elle moquée ? Doit-il sévir ? Ou n’était qu’une remarque douce et anodine, pleine de candeur juvénile ?
Elle méprise l’obéissance abusive et la soif de sang complètement excessive de ses condisciples.

Physique :
Leonor n’a rien d’un canon. Ce n’est pas sur elle que quelqu’un se retournera, le souffle coupé par une grâce extrapolée, une beauté extraordinaire. Si elle possède un visage joli, une certaine légèreté de mouvements, un corps harmonieux, elle se considère profondément banale. Ses cheveux sont d’un brun chaud et profond, et ont une souplesse agréable et bouclée ; ils atteignent sans difficulté le milieu de son dos, tout en se muant en spirales délétères à partir de sa nuque.
Elle possède une apparence particulièrement angélique, encore ingénue, notions encore accentuées par la grandeur de ses yeux sombres et ourlés de long cils, dans le plus pur style des biches apeurées – chose qui la répugne sérieusement - ; un peu trop mince, elle a un cou gracile et long, des épaules un peu étroites, mais rondes, des bras fins et un buste peu avantageux. Son ventre est creusé, sa poitrine n’a pas le galbe tant espéré, et ses hanches ne sont pas particulièrement marquées ; ses jambes sont longues, fuselées, et d’une pâleur ensoleillée, rendue dorée et délicieuse par de lointaines racines, inconnues et ignorées. Son visage est harmonieux : son nez fin, ses lèvres droites et légèrement charnues, ses sourcils arqués et ses joues minces et arrondies finalisent son aura exquise et douce. Rien ne vient souiller sa peau : les grains de beauté sont rares, les tatouages honnis, les tâches de naissance invisibles. Ses mains ont la beauté des pianistes ou des médecins ; longues, féminines et feutrées, elles sont toujours propres et soignées. Ses os, assez épais, saillent peu, et arrondissent une silhouette qui serait, sans cela, trop mince. Elle possède une beauté poupine, digne d’un petit chef d’œuvre méconnu de porcelaine et d’aquarelle, un jouet à froufrous et à perruque. Son charme et ses pensées transparaissent exclusivement dans ses prunelles émotives, alors que son visage n’a aucun mal à rester impassible.

Sentiments au sujet du Conflit : Elle ne se sent pas particulièrement touchée par le conflit et ne recherche aucunement le combat. Viscéralement, elle n’aime pas les Sorciers, et méprise un peu les Autres, mais aucun de ces sentiments ne sont assez forts pour qu’elle encourage le combat. En faveur de la paix, elle ne rate pas une occasion de saboter une grande idée offensive ou de faire souffrir un psychopathe un peu trop zélé à son gout.

-{ Histoire

Leonor n’a aucune raison d’en vouloir aux Sorciers. Elle ne sait pas comment elle est arrivée à Secrets Town ni ce qui a fait d’elle une Huntrice. Elle ne se souvient de rien, avant d’avoir franchi les barrières définitives de la ville. A sept ans, elle a le flash de son premier souvenir : éveillée, dans une impasse, elle découvre, les yeux ouverts et les sens en éveil, ce pays qui sera le sien à jamais. Elle ne comprend rien et n’a jamais cherché à comprendre : comment est-elle arrivée ici ? A-t-elle des parents, est-elle née dans l’enceinte de la ville, est-elle une nouvelle venue ? Elle ne sait pas. Elle sait qu’ensuite, elle a cherché dans les entrailles de la ville, et que ses premières frayeurs sont nées sur les coups de feux, les flashs de magie qu’elle a entraperçue ; elle n’a pas mis longtemps à comprendre que sa nouvelle patrie vivait la guerre. Elle a été recueillie rapidement, par une femme d’Hunter qui n’avait jamais pris part au conflit, une « pacifique silencieuse », et qui, veuve désormais, pleurait sa fille sanguinaire et son mari guerroyeur, tous deux tués par des sorciers vengeurs. Elle avait vécut plusieurs années sans soucis, et sans même croire un seul instant qu’elle deviendrait elle aussi une Huntrice. Jusqu’à tardivement, soit ses quatorze ans, elle s’était considérée comme une Autre, calme, muette la plupart du temps et fuyant les ruelles dangereuses de la ville. Mais vint le temps de l’arme, de la forteresse, du recruteur ; on frappa à la porte, elle ouvrit, on lui proposait ce nouveau statut, cette nouvelle vie qu’elle n’était pas sure de désirer. Hunter ? Comment ça ? Elle n’avait pas de parents, pas de racines, pas d’hérédité. Elle ne connaissait rien : quelqu’un savait-il, là bas ? C’était probable – c’est cet argument, utilisé par le recruteur, qui l’avait poussée à le suivre, à abandonner sa préceptrice de tous les instants, sa bonne étoile maternelle, pour chercher la vérité dans cette salle d’armes tant et tant louée. Elle n’aurait peut-être pas du.
Elle avait découvert dans cet antre, le bracelet précieux et passif qui lui offrait le pouvoir de guérir ses acolytes. Elle était retournée, assez contente de sa position toujours calme, de ce refus de combattre résidant dans le bijou, et avait été encouragée par sa tutrice. A 15 ans, elle avait vécu le premier vrai malheur de sa vie, et avait pour de bon fermer son âme : la femme si bonne, si altruiste qui lui avait inculquer la tolérance et la mélancolie rendit son dernier soupir, avec tout le naturel de la vieillesse, sans même lui laisser la douceur d’une espérance vengeresse, sans même lui souffler une haine persistante des sorciers. Elle avait migré vers la Forteresse. Et pendant quatre ans, elle avait appris. Appris à mépriser, agir en silence, juger d’un coup d’œil. Elle avait pour le chef des Hunters et pour son petit larbin de second, Dean McDowell, une pitié écoeurée, et pour tous leurs suiveurs cruels, un dégout profond. Pour les pacifiques affichés, une admiration sans faille. Pour les sorciers, une détestation née de ses origines, de ce bijou qui, même inoffensif, était Hunter. Elle était là, elle est là… en attente.

-{ Vous

× Prénom : Pauliine.
× Âge : 17 ans.
× Un commentaire ? 1/7ième du forum ! Oui oui oui !

Ma belle-fiiiiiiiiiiiiille I love you

Sbaaaaaaf.

Bref, ~~RE-~~welcome très chère Cool

Tu es validée bien entendu (et avec Dean, t'as vu çà !), je te met tout de suite ta couleur et déplace ta fiche x3

Ravie de te voir parmi nous, Leonor *.*

» Le Second et l'Infirmière, partie I. [Leonor]
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» Thomas, hunter à la protection de la plus magnifique de toutes les sorcières...