Roxas Jefferson

-{ Identité

Nom :

Jefferson

Prénom :

Roxas

Âge :

Vingt et une années, pas toujours très belles.

Clan :

Hunter

Arme de prédilection :

Un arc magnifique, en bois - indestructible, bizarrement- blanc à la base, mais qui change souvent de couleur - il faut bien pour des raisons qui seront expliquées plus tard - et un carquois de flèches inépuisables. Par ailleurs, ces flèches peuvent être empoisonnées... Par des poisons parfois un peu spéçiaux, puisqu'ils dépendent de la volonté de Roxas.

-{ Précisions

Caractère :

Roxas est une personne très particulière. Sans non plus être trop imbu de lui même, il sait ce qu'il vaut et la modestie ne l'étouffe pas. De toute façon, il ne supporte pas la fausse modestie, car il s'agit pour lui d'un moyen autrement plus fort de crier ses mérites que de le faire en bonne et dûe forme. Mais ce n'est pas ça qui le rend si particulier, ne vous en faites pas... Non, ce qui le rend particulier est un caractère particulièrement joueur. Depuis ce qui a été pour lui le plus grand drame de sa vie, et plus encore depuis qu'il a commis l'irréparable, ou plutôt peu après, il joue avec sa vie et celle des autres sans se soucier des conséquences. Il drague toutes les jolies filles, même si celles-ci sont sorcières. En fait, il n'y a pas meilleur manipulateur que ce type là : il est terriblement, comment dire ? Hypocrite ? Pas tant que ça. En fait, il ne s'interesse pas à nimporte quelle jolie fille - quoi que ça lui est déjà arrivé, pour se payer du bon temps. Non, il ne s'interesse qu'à celles qui pourraient lui donner des informations interessantes, parce qu'il est d'un naturel plutôt curieux. Après ça, une fois qu'il a eu les informations qu'il désirait, il devient très franc, voire même souvent méchant - s'il ne tue pas la personne qu'il vient de charmer.

Afin de mener cette entreprise périlleuse à bien, il fait plusieurs choses. Il repeint fréquemment son arc, par exemple, et il lui arrive aussi de se teindre les cheveux. Mais ce qui fait le plus fréquemment, c'est s'inventer une vie, et sa tendance à ne jamais donner deux fois le même prénom à deux personnes différentes, histoire que, si ces deux personnes se rencontrent et qu'il est en phase " méchant " avec l'une et " gentleman" avec l'autre, elles ne sachent pas qu'elles parlent de la même personne - et le plus dingue, c'est qu'il s'y retrouve avec tout ces prénoms. Bien entendu, il cache son vrai nom inscrit sur son arc et sur son carquois, parce qu'il est très loin d'être stupide et que ce serait beaucoup moins drôle. Oui, il trouve ce petit jeu très drôle. Il a des tendances d'ailleurs très sadiques, dans la mesure où, s'il n'aime pas faire couler les premières gouttes de sang, il imagine des poisons terriblement douloureux pour ses victimes... Et où il devient totalement cinglé presque à chaque fois qu'il voit du sang, aussi, incontrôlable et dangereux.

Ceci exclu, Roxas est une personne calme et réfléchie. Il ne fait jamais rien au hasard, cherche toujours à avoir un quelconque profit à ses actes, même s'il doit manipuler des gens pour cela. Il est d'ailleurs très fort dans ce but. Entre autre, il ne dit des choses que lorsqu'il est sûr de ce qu'il affirme, histoire d'avoir toujours raison. Agaçant pour les gens à qui il démontre qu'il est la voix de la raison, bien entendu. Il lui arrive même de prendre des airs supérieurs, quand il est en dehors de sa couverture d'homme absolument parfait. Mais, sans qu'il ne s'en rende vraiment compte, il ne cherche qu'à se protéger, à reconstruire son coeur brisé dérrière des remparts. Il est d'ailleurs capable, fait plutôt rare depuis quelques temps, de se montrer absolument adorable et très drôle, sans jouer - il est, soit dit en passant, un excellent acteur. D'ailleurs, il est incontestablement perturbé et terriblement lunatique. Ce qui ne l'empêche pas d'être on ne peut plus intelligent et de n'agir -presque - jamais sans réfléchir à ce qu'il compte faire. Il n'y a quasiment que les personnes comme lui qui sont assurées d'être gagnantes, car il sait toujours trouver une personne à manipuler.

Physique :

Roxas, et il le sait parfaitement puisqu'il en joue, est très beau. De taille suffisante pour presque tous ses interlocuteurs, il est très fin, et son corps ne semble pas être taillé pour le combat, même s'il a suffisament de muscles pour être totalement charmant. Pourtant, il est très fort à cet art, mais là n'est pas la question. Donc, il est vraiment beau : un visage agréable entouré par de charmantes mèches blondes, des yeux bleus d'une beauté à en perdre le souffle et plus profonds que l'océan... De même, il semble taillé pour son rôle de gentleman, et n'a pas l'air faux quand il est aimable. Une grande chance. Il s'habille en plus toujours avec le plus grand soin possible, qui fait qu'il est réputé - pour les rares personnes qui connaissent son vrai nom, bien sûr - comme quelqu'un de très soigneux de son apparence. En réalité, il est absolument parfait sur le plan physique - dans la mesure ou on supporte les blonds aux yeux bleus, bien entendu. Il possède un charisme énorme, et en profite. A cette image de personne parfaite, il associe une personalité parfaite qui le rend... Et bien, parfait, tout simplement.

Mais il y a l'envers du décor. Autant il peut se montrer charmant, ce qui sied tout à fait à son apparence, autant son regard peut se montrer aussi froid et dur que l'acier. Mais, étonnement, les rares fois où il se montre comme ça, il est tout aussi magnifique, voire plus encore, que quand il se montre sous son jour de personne absolument charmante. Bon, il est flippant, certes, surtout quand son regard se teinte d'envie paranoaïque de faire couler le sang... Mais n'est-il pas fascinant, ainsi ?

Sentiments au sujet du Conflit :

Roxas est quelqu'un de très... Particulier. Il n'aime pas particulièrement faire couler la première goutte de sang mais adore vraiment en voir- même s'il s'agit du sien. D'ailleurs, dès qu'il en voit, il devient parfois totalement incontrôlable, plus instable qu'il ne l'est déjà. Vous l'aurez compris, il n'aime pas commencer son travail mais, une fois que la première blessure est faite, même si c'est lui qui est touché, il devient un vrai bourreau ; c'est un peu paradoxal. Quand aux sorciers... Il ne les aime pas particulièrement, plus encore les sorcières, mais le cache efficacement, comme dit plus haut. Allons y franchement, loin d'être un enfant de coeur, il pense que les sorciers ne valent pas mieux que lui. Ce qui prouve qu'il ne les appréçie pas, puisqu'il entend souvent les gens dire qu'il est profondément mauvais.

-{ Histoire

Roxas Jefferson n'aura jamais connu son père, mort à la guerre peu avant sa naissance. Qu'à cela ne tienne, il aura toujours été très heureux, seul avec sa mère. Et puis, surtout, il y avait cette fille... Fille des voisins et amis de faculté de sa mère, la ravissante petite Lliana devint très vite son amie. Et, au fil du temps, puisqu'ils furent quasiment élevés ensemble, elle devint même sa meilleure amie. Malgré la très grande richesse des parents de la jeune fille, elle suivit ses cours dans les mêmes établissements publics que Roxas. Les deux enfants montrèrent vite un don et un grand intérêt pour les langues, alors les parents de Lliana leur offrirent, après de longs mois pour convaincre la mère de Roxas que ça ne les dérangeait pas de payer pour son fils, des cours particuliers pour qu'ils puissent, à leur grande joie, en apprendre le plus possible.

Ils vécurent donc heureux, et la suite logique voudrait que cela continue.

Malheureusement, la vie n'est pas toujours très logique et tout s'arrêta bien des années plus tard, alors que les deux enfants avaient bien grandis - ils avaient maintenant dix-sept ans chacun - et que Lliana avait eut un petit frère de douze ans ce jour là, Maniel, un drame boulversa leurs existences. Alors que leurs parents se rendaient ensemble à une fête, un terrible accident acheva leurs trois vies. Les enfants en furent abbatus. Mais Roxas se montra fort, voulant faire rire Lliana et, tant qu'à faire, Maniel, au plus vite, même dans l'orphelinat miteux dans lequel ils étaient contraints de vivre. Il voulait revoir le sourire magnifique de la jeune fille... Car, au fil du temps passé avec elle, il était tombé sous son charme. Il ne s'en était d'ailleurs pas tout de suite rendu compte.

Il lui avait fallu attendre sa première petite amie - la première fille avec qui il avait accepté de sortir, car les demandes avaient fusées bien plus tôt, en fait -, un an avant la mort de sa mère. Ils sortirent ensemble quelques mois, et ce ne fut pas lui mais la jeune fille en question qui rompit. Un beau jour de printemps, elle lui avait annonçé leur rupture. Il n'en avait pas été particulièrement triste, sans savoir pourquoi. Ce fut elle qui lui donna la clé. Elle en avait assez de passer toujours derrière Lliana, et elle s'affirmait persuadée qu'il était fou amoureux de cette dernière... Et il s'était rendu compte qu'elle avait raison. Mais il n'osa rien dire à la principale conçernée, surtout pas après la mort de leurs parents, et encore moins l'une des premières fois ou elle sourit de nouveau après ça, affirmant qu'il était comme un frère pour elle.

Ils vécurent un an à l'orphelinat, puisque Lliana toucha tout l'argent qu'il restait de ses parents - et il en restait une certaine somme - à ses dix-huits ans. Lui même toucha un petit capital, que sa mère avait soigneusement conservé pour lui au cas où il lui arriverait quelque chose et qu'elle ne serait pas là. Capital ridicule par rapport à celui de Lliana, mais l'intention le toucha beaucoup, vu que leur situation financière n'était pas au beau fixe du vivant de sa mère. Roxas et Lliana projetèrent de faire le tour du monde. Malheureusement, il était hors de question de laisser Maniel seul, et l'orphelinat refusait la demande d'adoption de sa soeur. Dans ce cas, ils organisèrent la fugue de l'enfant, qui laissa un mot derrière lui. Bon, ils furent recherchés quelques temps après pour enlévement d'enfant, mais ils avaient déjà quitté l'état.

Il voyagèrent, un an. Ils partirent le plus loin possible, se déplaçant dès qu'ils le pouvaient, mais marchant plus que prenant les transports divers qui leur était offert. Ils tenaient à économiser l'argent qu'ils avaient, au cas où. Et, même s'il ne l'avouait pas vraiment, Lliana avait comprit que Roxas n'aimait pas vraiment dépendre d'elle financièrement parlant. D'ailleurs, quand ils s'arrêtaient un moment dans une ville, il se débrouillait pour travailler un peu dur et gagner de l'argent. Ce fut lors d'une escalle comme celle-ci, contraints pour le travail qu'accomplissait Roxas de rester un bon mois, que Lliana apprit ce qu'il ressentait pour elle. C'était la dernière semaine et Roxas s'était assez lié à l'un de ses collègues qui avait bien comprit ce qu'il éprouvait pour elle. Il le força à avouer, et c'est ainsi, par pur hasard, en surprenant cette conversation, que Lliana découvrit le pot aux roses.

Malheureusement, elle ne l'aimait pas. Pas de cette façon. Pour lui, il était comme un frère, comme Maniel. Mais elle n'eut pas le courage de le lui dire. Ils reprirent leur périple sans qu'il sache qu'elle était au courant de tout. Mais il remarqua qu'elle n'allait pas très bien- après tout, il la conaissait depuis sa plus tendre enfance- et, une semaine, peut-être deux, après leur départ, il osa lui demander pourquoi elle allait si mal, voyant que tout cela ne lui passait pas. Elle lui avoua enfin qu'elle avait surprit sa conversation, et lui dit qu'elle était triste de lui faire de la peine mais qu'elle ne partageait pas ses sentiments. Pour elle, il serait toujours son frère, son complice, celui avec qui elle partageait tout depuis le berceau. Il en fut assomé. Détruit, en mille morceaux. Mais il fit de son mieux pour que ni elle ni Maniel ne remarquent à quel point il allait mal. Il n'avait plus qu'une envie, s'arrêter et se laisser mourir. Mais jamais il ne le ferait. Il fallait qu'il veille sur les deux personnes qui lui restaient dans sa vie. Et, si possible, sans les inquiéter. C'est pour cela qu'il prit tout de même une certaine distance entre Lliana et lui, afin de réussir à sourire un peu plus franchement.

Il voyagèrent encore un an. Tout ce temps, il vécut dans l'éspoir de l'oublier, mais n'en tomba que plus amoureux d'elle.

Ils arrivèrent dans la ville mystèrieuse sans vraiment comprendre comment. Tout ce qu'ils savaient, c'était qu'ils marchaient depuis très, très longtemps, et qu'ils en avait assez : ils étaient donc rassurés de voir, de nouveau, une ville, de la civilisation. Mais ils se trouvèrent séparés. Lui, seul, entraîné par des inconnus, mais en même temps guidé par une éspèce de voix qui l'appelait, bien qu'il sache qu'il ne s'agissait pas d'un être humain... Et Lliana et son frère, vers une destination qui lui était inconnue. Loin de lui. C'était un déchirement, surtout qu'il était partagé entre ce qui l'appelait et ses amis de toujours, sur lesquels il s'était promit de veiller...

On le mena dans une salle étrange, ou l'appel n'en était que plus fort. Et il le trouva. Un arc, magnifique. Equilibré, aux courbes parfaites, en bois blanc. Bois qui avait l'apparence et le toucher du marbre. Froid mais pas désagréable. C'était un arc magnifique... Son arc. Il le sentait et puis, de toute façon, son nom était marqué dessus. Avec cet arc était un carquoi, dont les flèches semblaient se multiplier lorsqu'elles n'étaient plus en nombre suffisant. Il aurait voulut montrer cette merveille à son amie, mais on ne lui en laissa pas l'occasion. Il fut obligé à s'entraîner. Lui qui touchait un arc pour la première fois de sa vie - il affirmait qu'il était non violent, et la plus grande arme qu'il avait touché de sa vie était un couteau de boucher pour l'un de ses petits boulots - ne rata pas une seule de ses cibles, comme si le flèches se dirigeait d'elles même. Il apprit du même coup qu'il pouvait empoisonner ses flèches, de poisons aussi spéçiaux qu'il pouvait en immaginer, s'il le souhaiter, et même les enflammer.

Et il put enfin sortir.

Malheureusement, ce ne fut qu'en un triste jour qu'il put montrer son arme fantastique à son amie. Un jour de guerre. Et elle était dans les factions ennemies, avec son frère. Il sembla à Roxas qu'elle arrêta le combat en le voyant, mais lui ne s'arrêta que lorsqu'on lui dit. Toute la fureur qu'il s'était permit de ressentir, tout en le cachant, contre Lliana quand celle-ci lui avait fait prendre le seul et le plus beau râteau de sa vie pouvait enfin s'extérioriser. Il se battit donc, furieusement, ne l'écoutant pas lorsqu'elle lui demanda d'arrêter. Ce ne fut pas le seul combat lors duquel ils se trouvèrent dans des camps ennemis, mais jamais elle ne combatait quand elle l'aperçevait, et lui même n'allait pas jusqu'à elle.

Mais elle ne voulait plus qu'il se batte. Maniel l'avait comprit, et il avait réfléchi. C'était visiblement son arc qui permettait à Roxas de se battre. Donc, plus d'arcs, plus de combats ! Il vola l'arc, ce qui fut la plus grosse erreur de sa vie. Il le cacha près de l'endroit où il viviait, mais le plus âgés des deux jeunes hommes sut tout de suite ou cela se situait. Ne considérant plus possible de vivre sans son arme, il alla la récupérer. Il fut furieux en voyant Maniel, qui tenta de l'empêcher de récupérer son arc. Alors il le tua dans d'atroces souffrances. Il aurait été infiniment agréable que Roxas ne ressente pas plus d'effet que cette phrase à tuer Maniel, mais ce n'était pas le cas. Cela lui fit payer un lourd, très lourd tribut psychologique. Il ne le supporta pas et jugea que, si c'était pour vivre ainsi, autant s'amuser le plus qu'il le pouvait. C'est aussi depuis ce meurtre qu'il devient fou en présence de sang.

Cela faisait six mois qu'ils étaient dans cette ville. Roxas s'efforça d'éviter Lliana le plus qu'il le pouvait, craingnant ce qu'il trouverait dans les yeux de l'être qu'il aimait le plus au monde. Mais il finit par se trouver coincé. Et il la découvrit haineuse et triste. Elle lui avoua qu'elle començait, peu à peu, à l'aimer, avant qu'il ne commette l'irréparable. Et elle lui jura la mort. Aussi longtemps qu'il vivrait, elle tenterait de le tuer dès qu'il croiserait sa route. Mais ses yeux, eux, ne transmirent qu'à moitié ce message. Ils lui disaient autre chose, une chose que Roxas aurait tout donné pour entendre un an et six mois plus tôt. Ils lui disaient " Je t'aime". Mais plus rien n'était aussi simple, et cette déclaration ne le rendit que plus triste et plus perturbé. Le soir même, il grava le prénom de Lliana sur la plus grosse des flèches qu'il avait, attendant le moment ou il la tuerait de cette flèche. Six mois, il attendit, de cette manière particulière. Il joua six mois avec les coeurs, s'amusant à s'appeler tantôt Al Hugues, tantôt James Mel ou encore Harry Young.

Roxas et Lliana s'aimaient, et c'est justement pour cela qu'ils comptaient se détruire l'un l'autre.

-{ Vous

Prénom :

Ceux qui me connaissent me reconnaîtront pour la plupart juste avec mon pseudo x)

Âge :

Quinze ans

Un commentaire ?

Ayu finira par me tuer x)

Welcome à toooiiiii =D
Hu hu hu Fye méchant, la classe <3
Jolie fiche, aucun problème, tu es donc validé =D
Bon jeu parmis nous =3

» / .# The Death and the Strawberry (2nd version) ~ Un Ange à ma Table [PV Roxas] \